J’ai passer ma journée a gamberger , je me suis accorder une folie (qui risque d’être gênante pendant un moment) j’ai fais deux percings : un a l’oreille et un a la langue.
Sinon j’ai passer la journée dans l’attente de la soirée queer as folk ,en mangeant, j’ai eu une conversation avec Marion qui a failli partir a veau l’eau, elle m’a dit qu’elle étais « contre les percings », ça a failli me mettre en rage, elle me tanne pendant des jours parce que je ne devrai pas la juger et elle s’empresse de me faire savoir que ce que je fais ne lui convient pas ! j’ai enchaîner sur le Ché pour me calmer les nerfs , ca ma permis de la placer devant un sujet qu’elle ne maîtrise qu’en partie et qu’elle a trop idéalisé. Ca m’a calmer, mais je suis toujours en colère contre son empressement a juger, elle n’a pas le droit de me demander de ne pas faire d’erreur et d’en faire les une a la suite des l’autres.
si elle savait qu’elles sont les raisons qui mon pousser a le faire…pas envi d’essayer de lui faire comprendre.
C’est moi qui ai réclamer cette soirée et finalement je me suis fait chier , on a regarder trois épisodes et on s’est barrer…
Fin de soirée, Marion a fait un flan pour avoir son chat et l’a laisser sur place , elle m’a ramener et est partie se coucher, passionnant, nous avons perdu notre complicité tout les trois…
Nous sommes incapables de vraiment s’amuser tout les trois, ou alors c’est moi qui suis incapable de m’amuser avec eux deux…
Temps pis, cette soirée m’a permis de comprendre une chose , j’ai très envie de voir Marion quand elle n’est pas la, mais des qu’elle est la, le rêve s’effondre, elle n’est absolument pas ce que j’espère d’elle, ce n’est plus ma Marion depuis longtemps.
Je ne l’accepte plus et elle ne m’accepte q’en partie.
Nous avons trop douter de la sincérité de l’autre pour nous croire mutuellement , en tout cas moi je n’arrive plus a la croire sans me forcer.
Je veut malgré tout la garder près de moi, je pense sincèrement que si l’on se comprend, si l’on s’accepte, si l’on fait l’effort de s’écouter l’un l’autre, ça changera…
Il ne s’agit pas de se battre pour elle , il s’agit de laisser faire le temps pour penser nos blessures puis se retrouver.
Je ne me bat plus pour elle ; pour l’instant, elle n’en vaut pas la peine.
lundi 29 juin 2009
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